P.R2B sort aujourd’hui son nouveau clip : Des rêves
P.R2B sort aujourd’hui, mercredi 9 septembre, son nouveau clip, Des rêves. Après La Chanson du Bal, Dolce Vita et Océan Forever, ce dernier titre vous fera patienter jusqu’à vendredi, jour de sortie de son premier EP.
Quelques mots de la part Pauline sur le clip
Des rêves est ma chanson la plus directe. “Et quand je crève je suis le cri de qui me croit ou qui me prie”. J’ai écrit cette chanson comme un cri du cœur. À un moment où il faut toujours “être ça”, moi je voulais juste “être”. Des rêves, c’est mon mantra de résistance. J’aimerais que ce soit un cri et un baiser en même temps. J’ai voulu penser son clip comme un rêve justement. Un lieu unique dans lequel on se promène. On se voit, mais ce n’est pas forcement soi, tout semble réel et pourtant si on se réveille on sait que l’on ne craint rien.
Si la violence arrive dans les rêves, pourquoi n’arriverions-nous pas à voler dans la vie, à traverser les murs ?
J’ai voulu tourner le clip en noir & blanc car c’est un espace de rêve. C’est une autre vision du monde et c’est aussi une forme de cinéma, très mystique. Quand on regarde un film en noir et blanc, il y a le ciel / la terre, les visages/ les habits, la lumières/ les contrastes. Cette dualité là, je la voulais pour le clip.
J’ai travaillé avec une bande de jeunes comédiens. Ils sont tous très différents et ils ont une intensité en eux, la rabbia. L’idée de groupe était très importante pour ce clip. Ces jeunes qui jouent à jouer, qui refont des scènes qu’on voit cent fois, sont déjà en train de dire non. En groupe, il y a la possibilité de dire non, de regarder un espoir ensemble. Et c’est tout ce que tente de raconter la chanson Des rêves : ça va faire très mal mais le soleil se lèvera toujours le matin.
À propos de P.R2B
Tout était là, très tôt. « Musique-cinéma, cinéma-musique », une énergie brute, des images qui claquent, le goût du beat et du chant qui jaillit. Tout était là très tôt, chez P.R2B. Le son, d’abord : Pauline Rambeau de Baralon (« Rambo » pour les intimes) grandit à Bourges entre des cours de clarinette, le blues d’un père guitariste, la musique classique (qu’elle aime « surtout quand elle est musclée ») et la chanson française, dont les images fantasques la fascinent autant que l’irrévérence de Eminem, TuPac ou Dr Dre.
C’est Tristan Salvati (Angèle, 47 ter) qui, après l’avoir contactée sur Instagram, se charge de l’aider à leur donner ce « coeur chaud » qu’elle recherche tant. Ensemble, ils le trouvent en travaillant sur les contrastes : un beat gabber frénétique éclabousse la mélodie de La Piscine, tube immédiat dans lequel on plonge en dansant.
[Source : communiqué de presse]
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